Labelle, F. (2006). Les trois C de la performance sociétale organisationnelle : convention, compromis, cohérence. Gestion, 31 (2). pp. 75-82. ISSN 0701-0028 2369-1352 DOI 10.3917/riges.312.0075
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Résumé
Résumé
L’intérêt grandissant au sujet de l’existence d’une responsabilité et d’une performance sociétale organisationnelle qui incomberaient à l’entreprise a donné naissance à un champ de recherche articulé autour de deux pôles : la responsabilité et la performance sociétale de l’organisation ainsi que le modèle des parties prenantes. Plusieurs recherches dans ce domaine indiquent que le gestionnaire a un rôle de mandataire des autres parties dont il doit défendre les intérêts tout en préservant l’équilibre entre leurs multiples demandes. L’étude du cas de la compagnie Alcan et de sa relation avec la collectivité régionale du Saguenay – Lac-Saint-Jean permet d’apporter un éclairage différent sur la gestion de la performance sociétale organisationnelle dans une arène de gouvernance délimitée par les parties prenantes. Ce cas nous apprend qu’il est possible de gérer les relations entre l’entreprise et la collectivité en agissant en fonction des trois C de la performance sociétale organisationnelle, soit une convention qui se négocie, se construit socialement, un compromis sur chacune des catégories (principes, mécanismes, résultats) de la performance sociétale organisationnelle et, surtout, la cohérence de l’alignement des catégories.
Type de document: | Article |
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Mots-clés libres: | INRPME |
Date de dépôt: | 17 janv. 2023 19:41 |
Dernière modification: | 17 janv. 2023 19:41 |
Version du document déposé: | Version officielle de l'éditeur |
URI: | https://depot-e.uqtr.ca/id/eprint/10372 |
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